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    Conférence "L'estime de soi et motivation chez les ados" lundi 6 février 2017

    Nous invitons tous les parents de vos lycées et collèges ainsi que toutes les équipes éducatives à nous rejoindre pour cette conférence-débat qui sera riche en informations et échanges.  

    Merci de votre attention et de votre participation.

     

     


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  • Bio, local, sans surcoût : est-ce possible ?

    Parents, élèves, gestionnaires, cuisiniers, élus, enseignants, personnel de service, agriculteurs... Nous vous invitons à échanger sur la restauration collective, sa qualité, son approvisionnement, son coût, l'équilibre alimentaire des repas.

    Le GABBTO et Dieta poursuivent l'animation du débat, le 11 mars à Bléré et le 8 avril à Montlouis. La discussion s'ouvre sur un jeu et se termine par une dégustation.

    Soirée organisée par le GABBTO et les diététiciennes de Dieta.

    Mardi 11 mars à 19 h, au collège du Réflessoir, 3 rue du Réflessoir à Bléré. Entrée libre

    Affiche soirée restauration Bléré


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  • Mardi 5 avril, la Fédération des conseils de parents d’élèves (FCPE) de Montlouis organisait une soirée d’information intitulée « les enfants des ondes ».

    Deux éléments motivaient les parents d’élèves : un projet municipal de liaison wifi entre la Mairie et l’espace Ligéria, sur lequel la FCPE avait interpellé la mairie, qui lui avait répondu qu’il s’agissait d’un projet devant aboutir dans le courant de l’année 2011, et le démarrage à l’échelle mondiale, d’une nouvelle étude épidémiologique, Mobi-kids, cherchant à évaluer si les ondes du téléphone mobile provoquent des tumeurs malignes sur le cerveau des enfants.

    Pour alimenter sa réflexion, la FCPE Montlouis avait fait appel à Emmanuel Denis, représentant le collectif Robin des Toits (Association nationale pour la sécurité dans les technologies sans fil). Après une présentation générale sur les techniques et les risques, des conseils également, un échange s’engageait avec la salle. De nombreux aspects furent abordés, faisant apparaître les enjeux, les pressions des opérateurs sur les municipalités, la difficile reconnaissance des maladies liées aux ondes, l’indispensable sensibilisation des adolescents et des familles, mais aussi les besoins de certaines populations qui conçoivent le téléphone portable comme un service public. Rien n’est simple mais les discussions furent enrichissantes.

    Les parents d’élèves sortaient très satisfaits puisque le maire-adjoint chargé de la communication et des relations publiques a annoncé au cours de cette soirée que la fibre optique allait être préférée au Wi-Fi pour relier l’espace Ligéria. La FCPE Montlouis s’en félicitait immédiatement, mais reste vigilante, notamment sur la décision du Conseil Général d’équiper les collèges en Wi-Fi.

    Il existe également un projet de convention avec la mairie de Tours permettant d'utiliser leur sonde de mesure des champs électromagnétiques. Initiative jugée intéressante par le représentant de Robins des Toits car cette démarche permettra de déterminer s'il y a des zones à risques (avec des niveaux de champs élevés) sur la commune de Montlouis.

    Pour lire l’article de la Nouvelle République sur cette soirée, cliquez ici.


     


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  • Le 18 mai dernier, la FCPE Montlouis a reçu Sylvette Denèfle.

    Voici un petit bilan de sa conférence : 

       Que de chemin parcouru depuis le militantisme des années 60,  les victoires des années 70 (lois sur le divorce, le viol, l’IVG…) jusqu’au « tout va bien » des années 80. Les études en sociologie sur le genre, débutées dans les années 90, montrent pourtant qu’il reste encore du chemin à parcourir concernant l’égalité Garçons-Filles.

     Même si l’école est une entrée possible, mais pas la seule, dans cette problématique, que pouvons nous en dire sur son rôle dans la construction sociale des différences entre les Garçons et les Filles ?

    En 1945, il n’y a presque pas de filles qui dépassent l’école élémentaire. Une inversion se produit après 1945 car le pays a besoin d’une population compétente dans le cadre de la reconstruction et des 30 glorieuses (1945-1975). Les filles s’engouffrent dans l’école et gravissent les échelons. Les taux de réussite augmentent de 1970 à nos jours.

    Cependant l’orientation ne suit pas ce phénomène. Les filles sont nombreuses dans les métiers peu valorisés. De plus, de nombreuses professions féminisées sont souvent valorisées par l’affectif et non par le salaire.

    Que constate t-on aujourd’hui ?

    Les résultats aux tests d’autoévaluation sont dramatiques. Les filles qui ont de bonnes notes ne veulent pas aller en filière S : « je n’en suis pas capable ». Dévalorisation qui ne touche pas les garçons, que des notes moyennes n’effraient pas pour envisager la même filière.

    Des études, qui s’appuient sur des statistiques, mettent en avant un phénomène de discrimination inconsciente, qui renforce le mécanisme d’auto sélection : par exemple, le temps de parole dans une classe accordé aux garçons est souvent plus long. S’agit-il de leur donner la parole afin de canaliser leur besoin de bouger, chahuter ? alors que les filles sont réputées plus appliquées ?

     La maison est également l’espace de diffusion du modèle Garçons-Filles : « on apprend pas la lessive »  mais le constat est sans appel, ce sont les petites filles qui aident.

     Alors où en est-on vraiment ?

     Il existe un décalage entre les discours et les mesures de la différence sociale. Celle-ci est toujours bien présente, d’où la nécessité de renforcer les efforts pour que l’égalité ne soit pas factice.    

     


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